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Vendredi 20 novembre 5 20 /11 /Nov 14:03


Ô se disposa avec application et complaisance, à genoux sur une banquette, le dos baissé et bien cambré, les cuisses écartées, le cul superbement offert.  Elle avait même deux jolies petites fesses bien pommelées, ce qui était la meilleure façon de présenter un petit trou du cul à la convoitise d'un homme. Le dit trou avait la perfection d'un anneau finement étoilé, parfaitement régulier dans son rayon. Je ne pus m'empêcher de m'exclamer, ce qui n'était pas prudent.
--- Tu as un cul rayonnant !
--- Ce qui signifie ?
Demanda-t-elle avec un peu d'inquiétude.
--- Cela signifie qu'il m'éblouit comme le soleil !

Peu à peu, mon gland s'enfonçait plus profondément dans le trou du cul . Celle-ci ne manifestait aucun signe de souffrance et avait même entrepris de participer à mon action par de savants mouvements de ses fesses.
J'avais, depuis longtemps, décelé le travail interne de son sexe, qui allait tranquillement, de son côté, son petit bonhomme de plaisir. Je découvris rapidement, que ce voisinage actif était non seulement stimulant pour ma propre jouissance, mais qu'il y participait puissamment.
Voilà bientôt que je limais avec bonheur dans le sphincter, constatant que ma partenaire semblait y prendre également beaucoup de plaisir, sans que je sache discerner ce qui était propre à son anus et ce qui venait de la stimulation supplémentaire apportée à l'autojouissance de son sexe. Quoi qu'il en soit, je n'avais jamais enculé un œillet aussi vivant et aussi favorable à ma jouissance.Soudain, c'est moi qui perdis pied. Dans une sorte d'état second, proche de l'évanouissement, je me rendis compte que ma partenaire prenait les choses en main, si j'ose dire, en se mettant à projeter violemment ses fesses en arrière, pour que mon sexe s'engloutisse en totalité dans son fondement. Le fameux point de non-retour était largement dépassé et pourtant ma jouissance était encore complète. Par quel phénomène cette  garce parvenait-elle ainsi à pulvériser toutes mes certitudes sur une pratique que je croyais maîtriser totalement ? J'étais trop ballotté, par mon plaisir, pour tenter de comprendre par quel artifice mécanique, ou par quelle alchimie, elle parvenait à accomplir ce miracle.
Quand j'éjaculais au plus profond de son cul, je ne pus m'empêcher de pousser un hurlement de plaisir......


Par Ninon
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Vendredi 20 novembre 5 20 /11 /Nov 12:31
Je suis un peu nerveux, comme toujours dans ces cas là. Le courant va t-il passer ? Arriverai-je à me détendre assez pour donner le meilleur de moi même... M'y voici. Je prend une grande inspiration, arbore un large sourire, un peu forcé, mais c'est toujours mieux que de tirer la tronche ! Je sonne. L'homme m'ouvre. Je le dévisage un instant puis lui tends la main. Nous nous serrons la main et il m'invite à entrer. Je lui tend ma bouteille de rosé en disant :
"- J'espère que ça conviendra, je ne m'y connais pas trop en vin..."
Je crois qu'il a senti ma gêne et il a un sourire amusé avant de répondre :
"- Bien sûr, ce sera très bien
Elle embrasse son mari alors que je me déshabille. Je m'installe en travers du divan et elle se met à quatre patte sur ce dernier. Sa main caresse mon sexe alors qu'elle me regarde. Son mari s'est quant à lui placé derrière elle et la doigte doucement en écartant sa culotte. Elle se penche sur ma verge et commence à la lécher. Son mari descend sa culotte pour avoir libre accès à sa fleur que je devine délicieuse. Il a d'ailleurs l'air de prendre beaucoup de plaisir à la goûter... Elle avale alors ma queue et je pousse un râle de plaisir. Je joue avec ses cheveux, puis je dégage sa nuque pour lui caresser, lui masser, ainsi que ses épaules, le haut de son dos. Elle accentue sa succion, se cambre pour mieux offrir sa chatte à son compagnon. Je le vois se redresser, la doigter à nouveau. Puis il se penche sur elle pour lui caresser la poitrine. Elle gémit. Je me relève et elle se place sur le dos, écartant les jambes pour l'accueillir en elle. Il entre lentement dans son corps. Elle enserre sa taille des ses jambes, le serre contre elle. Je lui caresse la poitrine, lui suce doucement les tétons. Il commence alors à bouger ses hanches et elle pousse des petits cris. Je sens sa main sur ma verge. Elle me caresse. Je la place alors près de son visage et elle tend le cou pour me sucer. Je continue à la caresser, mon pouce s'attarde sur son clitoris.. Son mari sort de son vagin. Nous nous asseyons tous trois sur le divan. Mes mains et celles de son compagnon courent sur son corps, en explorant les moindres recoins. Elle nous caresse elle aussi. Le visage, le torse, les fesses, la verge. Nous l'embrassons tour à tour. Elle se penche parfois pour nous lécher, nous sucer. Enfin elle vient s'asseoir sur moi et je glisse lentement en elle...

Son mari se masturbe en nous regardant. Je suce les mamelons dressés qui se présentent à moi, pétrit la poitrine de cette magnifique créature. Puis je la fais se tourner. Elle fais alors face à son compagnon. Mes mains sont toujours sur ses seins. Elle se penche pour l'embrasser. Il pose ses doigts sur son clitoris et la caresse. Les doigts de sa femme viennent remplacer les siens sur sa verge. Il se penche pour la téter. Je l'aide alors à se mettre en levrette afin qu'elle puisse le sucer alors que je la prends. Il ne tarde pas à remplir sa jolie bouche de sperme. Quant à moi je sors au dernier moment pour éjaculer entre ses reins... Je me penche, caresse ses seins, lui embrasse la nuque... Elle masturbe son mari puis nous échangeons un long baiser. Elle se dégage alors de dessous moi pour s'asseoir et je pousse un soupir de dépit. Je la vois remettre sa robe... Mais pas ses sous-vêtements. J'enfile mon pantalon. Son mari fait de même et dit :
"- Bien, prenons un petit apéro pour nous donner du cœur !"
Il part chercher la bouteille et de quoi grignoter. Je ne peux m'empêcher de caresser les magnifiques formes de sa femme. Elle a l'air d'apprécier. Elle m'embrasse. Nos salives se mélangent avec délice. Quand son mari revient il rit de nouveau :
"- Oui, décidément, vous êtes rapide en besogne... Remarque je vous comprends !"
Il vient se placer à nos côtés et caresse lui aussi sa femme. Je dis sur un ton rieur :
"- Vous n'auriez pas du remettre votre robe, je crois... L'apéro va attendre encore un peu !"
Elle sort alors un de ses seins de sa robe et la remonte pour révéler sa joli fente. Elle dit alors :
"- Ou je peux aussi la garder... C'est excitant, non ?"
Je souris et me penche pour la téter. Décidément, cette femme a tout pour plaire...
Par Ninon
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